Roald Dahl

« Un bon livre pour enfants fait beaucoup plus que distraire. Il enseigne à l’enfant la façon d’utiliser les mots, la joie de jouer avec la langue. Si mes livres peuvent aider les enfants à devenir lecteurs, alors je sens que j’ai mené à bien quelque chose d’important. »

Ô grand Roald ! Importants, ses livres le sont ; et on ne trouvera personne, je crois, pour dire le contraire. De Sacrées sorcières à Matilda, de James et la grosse pêche au Bon gros géant, de Fantastique Maître Renard à Moi Boy, de La potion magique de Georges Bouillon à Charlie et la chocolaterie, on peut dire qu’il en aura fourni, du bonheur aux enfants. Pour un conseil de lecture, pas besoin de chercher plus loin : si l’enfant ne les a pas encore lus et relus, offrez-lui du Roald Dahl. On peut commencer Roald Dahl très tôt, avec L’énorme crocodile ou Un amour de tortue, et on peut continuer très tard à bouillonner, saliver, rire et s’émouvoir avec ses romans.

À la Fête du livre, sur le stand des Croquelinottes où il était venu présenter ses albums, Philippe-Henri Turin a passé un certain temps à discuter avec une demoiselle de 10 ans à qui j’avais mis dans les mains Matilda. Mettant de côté pour un temps son travail à lui, PH Turin n’a pas hésité à expliquer à la charmante jeune fille combien il était essentiel d’avoir lu Roald Dahl, qui était ce grand monsieur, comment il s’était mis à écrire pour les enfants, combien drôles étaient ses livres.

Pour vanter les mérites de Roald Dahl, il y aura toujours du monde.

ClaireD